Source : Johanne Roy, Le Journal de Québec, 7 juillet 2010.
(...) Ces îlots de chaleur se caractérisent par la présence de ciment, d’asphalte et de briques, sans couvert d’arbres. Le soleil plombe toute la journée sur ces quartiers ; les structures accumulent de la chaleur et si celle-ci persiste la nuit (à 20 degrés ou plus comme c’est le cas ces jours-ci), cela peut devenir intolérable dans les logements, explique le directeur régional de la santé publique de Québec, le Dr François Desbiens.Les îlots de chaleur sont plus présents, entre autres, dans Saint-Roch, Saint-Sauveur, Limoilou et Duberger-Les Saules. « La situation est plus problématique dans la vallée de la rivière Saint-Charles que sur le cap Diamant, car il y a moins de circulation d’air, moins de vents », précise le Dr Desbiens. (...)
[ La suite. À lire entre autres billets : Limoilou au fil des saisons (50) : soirée caniculaire. ]