En complément, du même auteur : Sculptures-bancs: prendre part à une oeuvre d'art.Source : Gilles Anger, Le Soleil, 31 juillet 2010.
Tout juste passé le pont Dorchester, à l'amorce de la 3e Avenue à Limoilou, on découvre à gauche, sous les arbres, un «fauteuil pour deux». De loin, on croit à un meuble laissé-pour-compte. (...)C'est à l'automne 2008 que l'oeuvre d'art a été officiellement installée. «Elle est le maillon d'une chaîne de cinq sculptures-bancs, de part et d'autre du parc linéaire de la Saint-Charles. Une sixième hélas! a été vandalisée. On la refait, en atelier. Toutes ont été mises en place en 2008 et 2009», ajoute-t-elle [Mireille Plamondon, service des communications de la Ville de Québec].Toutes ces sculptures, d'artistes d'ici, ont été retenues eu égard à un projet de la Ville de Québec d'intégration d'oeuvres d'art public pour l'embellissement des berges de la Saint-Charles.Rive gaucheIl n'en fallait pas plus pour que Le Soleil parte à leur découverte. En rouli-roulant. Point de départ, à Limoilou, depuis le pont-tunnel Joseph-Samson, qui joint le boulevard des Capucins. Rive gauche de la rivière.C'est un long parc qui commence à se déployer. Rives renaturalisées, écosystèmes nombreux qu'on protège ou qu'on met en valeur, arbres très beaux, plates-bandes, buissons charmants, oiseaux - colverts, hérons et autres -, plantes aquatiques, observatoires, bancs publics dans des oasis de fraîcheur, aires de détente familiales.Cela, jusqu'au pont Scott, à la hauteur de l'ancien hôpital Christ-Roi, là où la beauté n'a pas encore dit son dernier mot. (...)
[ La suite. À consulter notamment : Rivière Saint-Charles : Un audioguide pour les visiteurs. ]