Interruption provisoire du chantier de la coop « Les Bons Amis » : des explications

(…) Ce qu’il y avait là pour provoquer une telle explosion n’a pas de quoi attirer les prospecteurs. Ce n’est ni du gaz naturel ni du pétrole, pas plus qu’un volcan ou une faille, mais probablement de l’huile, legs d’une époque où les normes environnementales n’existaient pas, qui a fait son chemin jusque-là. (…)Le porte-parole de la Ville de Québec Jacques Perron rappelle que ce secteur a connu une activité industrielle importante dans le passé et que beaucoup de terrains sont contaminés par les hydrocarbures. Le terrain en question a d’ailleurs déjà accueilli un garage d’autocars et une station-service. À une époque où les règles environnementales étaient à inventer, «quand les installations de surface étaient démolies, ce qu’il y avait sous terre restait là», y compris les fuites des réservoirs d’hydrocarbure, par exemple. (…)

[ La suite. À consulter notamment : Chantier de la coopérative d’habitation « Les Bons Amis » : arrêt préventif et Répertoire provincial des terrains contaminés : l’exemple de Limoilou. ]