Avoir son poulailler en ville

Source : Laurie Richard, Le Soleil, 7 avril 2012.Un jardin, ce n’est plus assez pour certains adeptes de l’agriculture urbaine. On veut aussi des oeufs frais, pondus à domicile. L’idée est tellement tentante pour plusieurs citadins qu’ils bravent la réglementation pour garder des poules à la maison. Elles caquettent – discrètement – dans les cours, jusqu’à Québec.Manger local est une façon de vivre. Et rien n’est plus «local» que «dans ma cour». Mais plusieurs propriétaires de poules urbaines ne veulent pas en parler. Ils demeurent discrets pour ne pas écoper d’amendes de leur municipalité. Reste que les règles dans la région de Québec ne sont pas très claires. À moins que votre volière cause tout un vacarme dans le voisinage. (…)[ La suite. À lire aussi : Les poules seront légales dans Rosemont, avec restriction. ]

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