Papiers White Birch : Les signes des temps

Source : François Bourque, Le Soleil (Chronique), 14 janvier 2012.Pour les employés et leurs proches, la fermeture brutale de l’usine Stadacona de Papiers White Birch est un choc, parfois un drame.Comme le sont chaque fois les fermetures d’usines lors­qu’on y a consacré sa vie et placé ses espoirs de retraite.À la différence qu’on y ajoute ici la colère provoquée par l’arrogance du propriétaire américain Peter Brant. Une attitude qui a fait dire au maire Régis Labeaume que «c’est dégueulasse», lui dont les critiques ont plus souvent pour cibles les syndicats que les patrons.La fermeture de l’usine Stadacona privera la Ville de 10 millions $ par année qu’elle tirait de la vente de vapeur de l’incinérateur. La Ville cherche d’autres moyens de rentabiliser sa vapeur : chauffer l’écoquartier D’Estimauville; produire du biogaz; vendre la vapeur à Hydro-Québec (le maire Labeaume en a parlé au président Vandal dans le Nord cette semaine). (…)[ La suite. En complément : Québec prêt à soutenir une possible relance. À lire notamment : À la défense des travailleurs de la White Birch. ]

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