Source : Le Soleil, Sophie Grenier-Héroux, 24 mars 2014 (...) Est-ce que Vicky Dessureault est tombée dans l'ébénisterie quand elle était jeune ? Oui. Du moins, assez pour être «fascinée par les machines». «Mon arrière-grand-père et mon grand-père étaient ébénistes, et c'est un univers qui me stimulait.»À cette fascination se sont ajoutés une formation en design d'intérieur, puis un intérêt marqué pour le patrimoine. Comme sur un chemin déjà tracé d'avance, Mme Dessureault s'est inscrite en histoire de l'art, pour mieux comprendre et saisir les subtilités des meubles d'époque, véritables oeuvres d'art.Après le design et l'histoire, elle a appris l'ébénisterie. Une formation qui l'a convaincue de faire de la restauration de chaises. «La fabrication est une partie de mon travail, mais la restauration, donner un second souffle, ça, c'est ce qui m'attire le plus.»Elle lançait La Chaiserie en 2005 et ouvrait sa boutique sur la 3e Avenue, dans Limoilou, en 2007. (...)[ Tout l'article. À lire aussi : Réparer le temps. ]