Libérer l’espace public (1 de 2)

Cette réflexion débute dans l’apparente difficulté à bien déneiger les trottoirs dans les quartiers centraux de Québec, notamment à Limoilou, et se poursuit par la disparition annoncée des facteurs au porte-à-porte. cover iphone 6 6s Vous cherchez le lien? L’encombrement de l’espace public!En effet, il est évident que la multitude d’objets, panneaux, poteaux, bornes de stationnement, poubelles et autres obstacles fixés sur nos trottoirs empêchent les déneigeurs de bien faire leur travail. Mais ce n’est pas tout, imaginez-vous pour quelques instants avec une poussette ou en chaise roulante sur les trottoirs d’un quartier central et vous verrez à quel point une simple marche peut parfois devenir une véritable course à obstacle, même en plein été! Au niveau de la qualité du paysage urbain, c’est encore pire : la multiplication de ces objets, souvent dépourvus de design et installés sans aucune réflexion d’ensemble, amène un encombrement visuel qui finit par rendre banal toutes nos artères commerciales et toutes nos promenades en ville.La disparition annoncée des traditionnels facteurs amènera à coup sûr une multiplication de boîtes postales dans nos quartiers. cover iphone 8 plus « Où va-t-on installer ces objets encombrant ? », s’est immédiatement demandé le nouveau maire de Montréal, Denis Coderre. La question n’est pas banale.L’arrivée d’un autre élément dans le paysage urbain en inquiète plusieurs. custodia samsung cover L’Institut Royal d’architecture du Canada (IRAC) s’est d’ailleurs questionné ouvertement sur le sujet. iphone 7 8 plus hoesje François Cardinal en faisait d'ailleurs mention dans son blogue à La Presse le 11 janvier dernier :

L’IRAC est d’avis que les boîtes postales communautaires auront des conséquences sur le paysage urbain, sur les rues, les espaces verts et la qualité de vie des Canadiens. iphone 6 6s hoesje L’installation de ces boîtes dans les quartiers existants posera de grands défis […]. cover iphone 6 6s plus Et jusqu’à maintenant, Postes Canada n’a fourni aucune information qui démontre que cela sera fait d’une manière acceptable pour tous.»

Dans un article étoffé sur la situation de l’encombrement de l’espace public à Lyon, l’auteur Edouard Malsch recense pour sa part, photos à l’appui, le nombre de plots, poteaux, feux de circulation sur divers trottoirs de la métropole et conclut à une nécessaire « mutualisation des usages pour le mobilier urbain ».Le succès reposerait donc en partie sur une rationalisation et des combinaisons judicieuses.