Trois finissantes pour qui c’est loin d’être terminé!

Florence Lessard, Catherine Berger-Dubé et Arianne Gagnon en sont aux derniers moments de leur passage de trois ans au Cégep de Limoilou. Finissantes, oui, mais pour elles, la mission n’est pas encore terminée.

Trois finissantes pour qui c’est loin d’être terminé! | 4 mars 2020 | Article par Christian Lemelin

Crédit photo: Christian Lemelin

Florence Lessard, Catherine Berger-Dubé et Arianne Gagnon en sont aux derniers moments de leur passage de trois ans au Cégep de Limoilou. Finissantes, oui, mais pour elles, la mission n’est pas encore terminée.

À l’aube des séries éliminatoires de la ligue de hockey collégial féminin (samedi 7 mars), elles ont, à court terme, une autre étape à franchir pour boucler un parcours que l’on peut qualifier d’exceptionnel. Parcours qui, espèrent-elles, se terminera par un autre championnat du circuit.

Pour Florence, la capitaine des Titans, opter pour le programme des Titans allait de soi puisque Québec, c’est sa ville. Le hockey occupe sa vie depuis qu’elle est toute petite! « J’ai commencé à jouer à l’âge de six ans », dit celle qui porte le C (capitaine) sur son chandail. Elle est, en somme, tombée dans la marmite, pour reprendre l’image bien connue. Ça doit expliquer son excellent coup de patin.

Catherine et Arianne, assistantes-capitaines, sont originaires l’une de Granby (Montérégie), l’autre de Price (Bas-Saint-Laurent). Elles auraient pu choisir une autre institution pour étudier et jouer au hockey, mais la réputation du programme des Titans ne laissait aucun ou très peu de doute dans leur esprit. Comme leur amie et coéquipière, elles voulaient évoluer dans un milieu stimulant. Elles auront été servies à souhait!

Autre étape à venir : les études universitaires. Les trois vont quitter la région pour parfaire leurs connaissances et poursuivre leur parcours de hockeyeuses.

Florence, aux États-Unis, à l’Université Clarkson, dont l’excellence en hockey ne fait aucun doute. Un récent reportage de Radio-Canada a d’ailleurs fait état de la présence québécoise au sein des équipes, tant masculine que féminine, de cette institution de Potsdam, dans l’état de New York.

Catherine a choisi l’Université Bishop’s, pour l’excellence en psychologie et, bien sûr, en hockey, tandis qu’Arianne se tournera vers l’Université d’Ottaw, où le hockey et la criminologie font très bon ménage!

Viendra ensuite le jour où toutes les trois vont entreprendre une carrière professionnelle dans leur spécialité, mais il n’est pas dit qu’elles vont, pour autant, tourner le dos hockey. Une carrière sur glace, chez les pros, même si, actuellement, la situation n’est pas idéale ? Pourquoi pas, « si le niveau personnel est là », doit-on comprendre.

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TROIS FINISSANTES POUR QUI C’EST LOIN D’ÊTRE TERMINÉ !Florence Lessard, Catherine Berger-Dubé et Arianne Gagnon en sont aux derniers moments de leur passage de trois ans au Cégep de Limoilou. Finissantes, oui, mais pour elles, la mission n’est pas encore terminée.À l’aube des séries éliminatoires de la ligue de hockey collégial féminin (samedi 7 mars), elles ont, à court terme, une autre étape à franchir pour boucler un parcours que l’on peut qualifier d’exceptionnel. Parcours qui, espèrent-elles, se terminera par un autre championnat du circuit.Pour Florence, la capitaine des Titans, opter pour le programme des Titans allait de soi puisque Québec, c’est sa ville. Le hockey occupe sa vie depuis qu’elle est toute petite ! « J’ai commencé à jouer à l’âge de six ans », dit celle qui porte le C (capitaine) sur son chandail. Elle est, en somme, tombée dans la marmite, pour reprendre l’image bien connue. Ça doit expliquer son excellent coup de patin.Catherine et Arianne, assistantes-capitaine, sont originaires, l’une de Granby (Montérégie), l’autre de Price (Bas-Saint-Laurent). Elles auraient pu choisir une autre institution, pour étudier et jouer au hockey, mais la réputation du programme des Titans ne laissait aucun ou très peu de doute dans leur esprit. Comme leur amie et coéquipière, elles voulaient évoluer dans un milieu stimulant. Elles auront été servies à souhait !Autre étape à venir : les études universitaires. Les trois vont quitter la région pour parfaire leurs connaissances et poursuivre leur parcours de hockeyeuses.Florence, aux États-Unis, à l’université Clarkson, dont l’excellence en hockey ne fait aucun doute. Un récent reportage de Radio-Canada a d’ailleurs fait état de la présence québécoise au sein des équipes, tant masculine que féminine, de cette institution de Potsdam, dans l’État de New York.Catherine a choisi l’Université Bishop’s, pour l’excellence en psychologie et, bien sûr, en hockey, tandis qu’Arianne se tournera vers l’Université d’Ottawa où le hockey et la criminologie font très bon ménage !Viendra ensuite le jour où toutes les trois vont entreprendre une carrière professionnelle dans leur spécialité, mais il n’est pas dit qu’elles vont, pour autant, tourner le dos hockey. Une carrière sur glace, chez les pros, même si, actuellement, la situation n’est pas idéale ? Pourquoi pas, « si le niveau personnel est là », doit-on comprendre.Quoiqu’il en soit, on leur souhaite tout ce qu’il y a de mieux ! Disciplinées, talentueuses, leur réussite et celle de leurs coéquipières finissantes ne fait aucun doute.

Posted by Lemelin Christian on Wednesday, March 4, 2020

Quoi qu’il en soit, on leur souhaite tout ce qu’il y a de mieux! Disciplinées, talentueuses, leur réussite et celle de leurs coéquipières finissantes ne fait aucun doute.

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