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Expositions : Amalgame émotionnel de Johanne Vallée (alias Ruby) et Paysages oniriques de Christine Simard

Description de l'activité

La Galerie Vincent et moi du CIUSSS de la Capitale-Nationale vous invite au vernissage et à la visite de deux expositions : Amalgame émotionnel de Johanne Vallée (alias Ruby) et Paysages oniriques de Christine Simard.

C’est à une ballade sur les sentiers intérieurs, les forêts émotionnelles de nos vies et l’expérientiel que nous convie les artistes Johanne Vallée et Christine Simard. Avec des techniques fort différentes, l’une la peinture, l’autre la photographie, les artistes se rejoignent dans une interprétation très sensible de leurs sujets.

Le vernissage public de ces expositions aura lieu le vendredi 19 janvier 2017 à 17 h à la Galerie Vincent et moi (local G-1343). Les expositions se poursuivront jusqu’au 1er mars 2018. La galerie est ouverte du lundi au vendredi, de 13 h à 16 h, sauf les jours fériés.

AMALGAME ÉMOTIONNEL – Johanne Vallée

S’amalgamer, se fondre en un tout. C’est ce que Johanne Vallée (Ruby) propose aux visiteurs, comme elle-même le fait dans son processus de création. Pour la plupart de ses toiles, elle applique la peinture de façon intuitive, guidée dans ses gestes par ce qui apparaît au fur et à mesure. Une sorte de tango entre la toile et elle. Cette exposition, elle l’offre tel un parcours où il suffit de déambuler, de se laisser emporter par ce déferlement de couleurs et d’émotions et bercer par le mouvement onduleux de ses œuvres.

PAYSAGES ONITIQUES– Christine Simard

Paysages oniriques est un projet artistique photographique né des observations quotidiennes de l’artiste dans une démarche contemplative. Les paysages sont des extractions de matières variées prises dans la nature comme l’eau, la glace, les végétaux, le bois ainsi que sur des matériaux comme la peinture défraîchie, les murs en décrépitude, la rouille ainsi que les jeux de lumières sur différents supports naturels ou synthétiques. Christine Simard pose un regard poétique, à la manière d’une loupe, de façon à extraire du réel et du banal la beauté singulière qu’offre le travail du temps, et de révéler des paysages qui émergent  de sa perception. Grâce à cet angle rapproché, elle propose au contemplatif d’ouvrir sur ses possibles visions oniriques pour s’immerger dans un monde où ses propres perceptions prennent vie à leur tour.



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