Le marché immobilier au ralenti à Québec
Source : Le Soleil, Jean-Michel Genois Gagnon, 20 janvier 2016
L’année 2015 n’a pas été une cuvée exceptionnelle pour le marché immobilier résidentiel de la région de Québec. Alors que la province a inscrit sa plus forte croissance des ventes en cinq ans, soit de 5 %, la région a enregistré, elle, un bond de seulement 2 %.
Ces statistiques ont été présentées mardi matin à l’Université Laval par la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ). Une centaine de personnes étaient présentes pour l’événement. (…)
Retour en ville
Alors qu’il n’y a pas si longtemps, on disait que les familles délaissaient de plus en plus les centres-villes de Québec pour s’installer en banlieue, il semblerait que la tendance soit quelque peu inversée pour 2015.Les secteurs de La Cité-basse ville et Limoilou et Sainte-Foy-Sillery sont ceux qui ont connu la plus forte progression avec des ventes de 13 % et 12 % l’an dernier, alors que les secteurs de la MRC de La Jacques-Cartier, Cap-Rouge et Saint-Augustin-de-Desmaures et l’aéroport, L’Ancienne-Lorette et Val-Bélair ont tous connu un recul de 4 %, 8 % et 9 %. (…)
L’acheteur avantagé
Le marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de Québec est actuellement à l’avantage des acheteurs, et ce, peu importe le secteur, que ce soit pour l’unifamiliale, la copropriété ou le plex. (…)Dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec, les secteurs où le vendeur possède encore un léger avantage sur l’acheteur pour une maison unifamiliale sont La Cité-basse ville et Limoilou, Charlesbourg, le secteur de l’aéroport, L’Ancienne-Lorette, Val-Bélair et Les Rivières. (…)[ Tout l’article. À lire aussi : Jeune famille cherche propriété en ville (5) : la conversion et les travaux. ]
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